Mon engagement politique au PoP Valais a pour vocation de défendre les intérêts des travailleuses et des travailleurs, davantage par principe de justice que par simple intérêt d’appartenance : ce sont en effet elles et eux qui ont participé, participent et participeront probablement encore à l’essor, au bon fonctionnement et à la prospérité de notre pays ; ils n’ont dès lors pas à subir d’austérité ou à bénéficier de moins bonnes conditions de vie que les personnes mieux nées ou mieux positionnées dans les échelles d’excellence de nos sociétés.
La situation des vulnérables me tient également à cœur, dans la mesure où ils ne sont, ni plus ni moins, que ceux qui ont fait révélation d’une vulnérabilité que nous possédons toutes et tous en nous et que l’esprit néolibéral ambiant pourrait nous conduire à révéler bien plus rapidement qu’imaginé. Mettre en avant des mesures allant vers une responsabilisation collective vis-à-vis de ces personnes relève ainsi du devoir et il me semble donc important de réserver aux vulnérables le meilleur des traitements d’une part et de dresser des remparts contre le néolibéralisme destructeur d’autre part.