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Nous apprenons que dans l’affaire liée au mercure déversé par l’entreprise Lonza, le canton du Valais savait depuis plus de 40 ans mais personne n’a réagi. D’après les infos parues dans les médias en date du 23 février dernier, le Département de la mobilité, du territoire et de l’environnement valaisan indique, je cite, « qu’il est difficile de s’exprimer sur le passé et qu’il souhaite se ‘concentrer ‘sur l’assainissement des terrains pollués. » Il est facile de dire Iaissons le passé au passé, or, dans cette affaire, c’est 250 cas d’intoxications entre 1920 et 1950 selon la RTS, des cours d’eau et des terres qui sont pollués et les dégâts écologiques qui se répercutent jusque dans notre canton de Vaud via le Rhône et le lac Léman. Nous ne pouvons pas laisser un gouvernement nous dire circulez rien à voir et ainsi éviter à chercher des responsables, des comptes doivent être rendus par le Conseil d’Etat valaisan sur ces décennies de pollution,

Je pose les questions suivantes :
  1. Le canton de Vaud était-il au courant que depuis 40 ans ces problèmes liés au mercure existaient dans le canton du Valais ?
  2. Qu’en est-il de la situation actuelle pour le canton de Vaud au niveau de la pollution produite par l’entreprise Lonza? Des analyses récentes ont-elles été faites sur le territoire cantonal vaudois et qu’en ressort-il ?
  3. Compte-t-il demander réparation au canton du Valais voir porter plainte pour les éventuels dégâts collatéraux subis ?
Interpellation de notre député Vincent Keller au Grand Conseil vaudois

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