[cmsms_row data_width= »boxed » data_padding_left= »3″ data_padding_right= »3″ data_color= »default » data_bg_color= »#ffffff » data_bg_position= »top center » data_bg_repeat= »no-repeat » data_bg_attachment= »scroll » data_bg_size= »cover » data_bg_parallax_ratio= »0.5″ data_color_overlay= »#000000″ data_overlay_opacity= »50″ data_padding_top= »0″ data_padding_bottom= »50″][cmsms_column data_width= »1/1″][cmsms_featured_block animation_delay= »0″]
Nous disons NON à la loi fédérale du 27 septembre 2019 relative aux services d’identification électronique
Il existe sans aucun doute un besoin d’identification électronique, qui devrait, par exemple, légaliser la conclusion de contrats sur Internet. Les services fédéraux de logiciels ont essayé de trouver une solution valable, mais ils ont échoué et ont gaspillé beaucoup d’argent. C’est pourquoi les grands groupes privés ont senti l’air du matin et ont lancé une nouvelle loi fédérale sur les services d’identification électronique. Ils préconisent l’approche suivante :
– L’État fixe les exigences légales, garantit l’exactitude des données et supervise les fournisseurs de l’E-ID.
– Elle exerce ses pouvoirs législatifs et de contrôle.
– Outre les unités administratives des cantons et des communes, des entreprises privées, notamment, proposeront des solutions concrètes d’identification électronique.
– On dit qu’ils sont capables de réagir plus rapidement et plus souplement à l’évolution des possibilités techniques et des besoins des consommateurs.
Il existe sans aucun doute un besoin d’identification électronique, qui devrait, par exemple, légaliser la conclusion de contrats sur Internet. Les services fédéraux de logiciels ont essayé de trouver une solution valable, mais ils ont échoué et ont gaspillé beaucoup d’argent. C’est pourquoi les grands groupes privés ont senti l’air du matin et ont lancé une nouvelle loi fédérale sur les services d’identification électronique. Ils préconisent l’approche suivante :
– L’État fixe les exigences légales, garantit l’exactitude des données et supervise les fournisseurs de l’E-ID.
– Elle exerce ses pouvoirs législatifs et de contrôle.
– Outre les unités administratives des cantons et des communes, des entreprises privées, notamment, proposeront des solutions concrètes d’identification électronique.
– On dit qu’ils sont capables de réagir plus rapidement et plus souplement à l’évolution des possibilités techniques et des besoins des consommateurs.
Une fois de plus, on affirme sans contradiction que le secteur privé est plus rapide et plus flexible. Il est également avancé que cette identification électronique n’est pas un passeport. C’est encore vrai aujourd’hui, mais il est clairement prévisible que dans un futur proche, cette tâche sera également prise en charge par cet instrument. L’État est en train de remettre l’une de ses tâches les plus centrales, ayant déjà cédé une partie de son monopole sur l’usage de la force à des organisations privées. Une protection plus stricte des données est également promise. C’est difficile à croire.
Pourquoi les grandes banques et les compagnies d’assurance s’intéressent-elles à cette tâche ? Bien sûr, ils attendent un avantage supplémentaire, sinon ils ne chercheraient certainement pas cette tâche sans rapport.
POP Valais-Wallis
[/cmsms_featured_block][/cmsms_column][/cmsms_row]