Yves Niveaux, 67 ans

– Troistorrents
– Franco-Suisse
– Vice-président du PoP Valais-Wallis
– A la retraite après avoir exercé toute ma carrière comme infirmier psychiatrique

Si j’ai décidé de me porter candidat sur la liste du POP Valais-Wallis, c’est que j’ai vraiment envie de défendre au sein du Conseil national les intérêts des plus démunis, des travailleurs, des jeunes, des femmes, des paysans, richesse de notre pays, et des retraités.

Les rentes de ces derniers doivent être augmentées pour pouvoir vivre dignement après une vie de labeur.
Le programme défini par le @partisuissedutravail est aussi le mien.
Il s’agit de mettre l’humain au centre de la société et de combattre la finance parasite et ceux qui s’en mettent plein les poches à notre détriment.

Nous visons une autre forme de société où chacun sera libre et égal, où les moins riches n’auront pas à se soucier du lendemain, où la nature et tous les êtres vivants seront préservés. Et où les riches ne décideront plus du sort de la population tout en préservant leurs immenses richesses. Moins il y aura de banquiers, assureurs, fondés de pouvoir, entrepreneurs au parlement, plus les intérêts du peuple seront garantis et
défendus.

En tant qu’ancien travailleur de la santé, il me tient à cœur que tous puissent avoir un accès égal à la
santé, que les soignants puissent travailler dans de bonnes conditions avec de bons salaires et qu’ils
puissent dispenser des soins de qualité.

Notre devoir aussi sera de nous attaquer aux caisses-maladie qui accumulent des réserves outrancières et
nous font payer le prix fort pour nous couvrir. Il faut arrêter avec le principe qui veut que ce soient ces
mêmes caisses qui décident des soins qu’il nous faut et qui imposent ses décisions aux médecins. Ceux-ci
et les infirmiers passent une grande partie de leur temps de travail à remplir toutes sortes de documents exigées par les caisses-maladie, au détriment de leur présence auprès des patients. Il est clair qu’une
caisse unique publique répondrait bien mieux aux besoins de soins. L’hôpital doit aussi retourner dans le
giron public.

J’appelle donc les travailleurs, les jeunes, les femmes, les paysans et les retraités à soutenir massivement
notre liste.

Pour un monde meilleur